clashofclans

L’Iran a trouvé un ennemi bien plus dangereux que les États Unis: Clash of clans, un jeu qui passionne les jeunes gens de partout dans le monde, y compris les iraniens, mais que les autorités considéré comme l’incitation à la violence. D’où l’interdiction en janvier dernier. Cependant, l’indignation de leurs plus de six millions d’utilisateurs, et nul doute que les élections présidentielles en mai, ont amené le Gouvernement à prendre des mesures en la matière. Six ministres de travailler à partir d’un mois, la levée de l’interdiction, quelque chose qui a suscité l’incrédulité à la fois de les fans pour le jeu, comme le reste, convaincu qu’il y a des questions plus urgentes à régler.

L’incitation à la violence

Le sous-procureur criminel en Iran, Abdolsamad Khorramabadi, a expliqué que “les experts et, par-dessus tout, les psychologues, le jeu Clash of clans est un exemple clair de la promotion de la violence par le biais de la guerre des clans”. Une telle approche a conduit à de nombreux commentaires à son égard sur les réseaux sociaux. L’un des principaux bénéficiaires de la critique, certains d’entre eux offensive, a été le ministre des Télécommunications et des Technologies de l’Information, Mahmoud Vaezi. “Afin de rendre le rapport et de le soumettre au Comité, j’ai dû supprimer plusieurs commentaires de votre langage inapproprié,” il a avoué.

Plus de 25 millions d’iraniens ont passer leur temps sur des jeux vidéo, c’est-à-dire, un tiers de la population, dont 12 millions sont des joueurs assidus. Clash of clans est actuellement le plus populaire avec plus de six millions d’utilisateurs, qui, depuis 2012 ont passé l’équivalent de 33 millions d’euros dans ce jeu. Il y a eu aussi de nombreux sites web qui vendent des comptes pour ce jeu, certains vont coûter jusqu’à 1 500 euros. L’ampleur de la charge est une des excuses de ceux qui s’opposent à ces jeux qui, en 2013, a conduit les autorités à interdire Travian, d’autres vidéo du jeu stratégique.