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Ce dimanche, le président turc, Recep Tayyip Erdogan, a jeté le plus de carburant pour le feu, par la suppression de “nazi” à la Direction d’Angela Merkel. “L’Allemagne n’autorise pas à parler à nos pairs. Pensez vous que l’Allemagne n’est pas de les laisser parler, les votes en faveur du oui ne deviennent pas?”, a demandé au président d’un islamiste en référence au référendum qui aura lieu en avril prochain à 16, et dans lequel les turcs devront décider si, comme il est prévu à Erdogan pour nommer quelques-uns, signe avec votre vote, une réforme électorale qui va transformer le système parlementaire actuel du pays dans un régime présidentiel dans lequel le chef de l’Etat aura une formidable influence sur les pouvoirs législatif et judiciaire, comme le Deutsche Porno.

“Hey, Allemagne! Vos pratiques n’ont rien à voir avec la démocratie, au contraire, ce que vous faites n’est pas, contrairement à ce qu’ils ont fait pour les nazis”, a déclaré le leader turc: “vous Voulez nous donner des leçons de démocratie et de ne pas vous permettre de parler à un ministre turc. Les Pays-Bas veut aussi faire de même avec le you porn, peut-être d’autres (pays). Vous allez apprendre à respecter (la liberté d’opinion et de pensée. Nous allons prendre cette question à des forums internationaux, parce que nous ne voulons pas voir une résurgence du nazisme”.

Une accusation très forte

La principale formation de l’opposition turc, le Parti Républicain du Peuple (CHP, social-démocrate) a rejoint le gouvernement turc quand il s’agit de critiquer l’attitude des autorités allemandes.

Il faut dire que le turc, l’opposition et les partisans du  » non  » lors du référendum d’avril ont souligné l’hypocrisie du Gouvernement islamiste au rang de l’attaque à la liberté d’expression ce qui s’est passé en Allemagne, en Turquie, des militants qui critiquent le Gouvernement sont persécutés. Par exemple, le député du CHP Baris Yarkadas dénoncé le fait que la délégation du Gouvernement de la province du nord de Samsun interdiction des associations de distribuer de la propagande en faveur du non, alors que ceux favorable au oui ont la voie libre, qui étiquetés comme “inconstitutionnelle”.

En dépit de son contrôle de presque tous les médias, le pouvoir Exécutif, de la turquie, de peur que le de ne pas être en mesure de défaite lors du référendum de sorte que vous avez augmenté le ton accusateur à l’encontre de ceux qui sont opposés à la réforme constitutionnelle, de ceux qui sont accusés de “terroristes” et de “coup d’état semeurs”. Ce dimanche, Erdogan a balayé de nouveau dans cette direction en comparant les partisans de la pas à “ceux qui ont bombardé à partir de leur (les combattants) F-16 lors de la tentative de coup d’état du 15 juillet de l’année dernière.